N°1 - Café - Le 01/11/09

Bonjour,

Première écrit d'un long éhange je l'espère...

Ce site représente un gros avantage, il n'a pas de pub. Ainsi nous pouvons prendre le temps sans être solicité par d'autres images.

Pour une première,

The fortresses of the love.

Ne vous fiez pas au titre. Il a été choisie pour des raison assez obcures.
Néanmoins le thème de l'amour est là. Sans raisons, juste là, au pied de nos vies prêt à nous éclabousser.
À moins que quelqu'un le fasse intentionnellement. Et là à nous de prendre la décision. Voulons nous jouer ?

Nous nous promenons vers des eaux plus profondent, ou nous n'avons pas pied. Pendant qu'elle s'attache les cheveux au dessus de sa pensé, elle me dit : "Surtout je ne veux pas me mouiller les cheveux !"
N'importe quel autre homme aurait compris l'importance de ces quelques mots dit par une femme. Mais je l'ai entendu comme on écouterait un jeune philisophe de dix huit ans y voir plus claire sur la vie, cinq minutes après avoir fumer son joint.
Puis dieu, aussi malin comme il l'est, me fit tribucher sur un rocher savament caché. Elle a crue que je lançais une course ; puis prit d'une envie de rajeunir elle partie en courant face au vague.
L'instinct me fit la suivre. La passion peut être ? Ou l'idée de ne savoir que faire devant la personne que vous déstabilise le plus. Alors on mime. Quoi de plus naturel dans ces moments d'apprentissage.
Nous nous suivons. Éclat de rire au lèvre, trampé dans du chocolat fondant, frère de miel, frère de sucre. Submergé par tant de douceur intarissable, c'est alors que mes bras se sont élancé au travers du courant de l'eau.
L'erreur de la passion est pardonnable, un jours. Mais à cet instant :
"Hé mais qu'est ce qu'il te prend là ! Tu m'éclabousse ! T'es con ou quoi ?!"
En s'en allant vers le sable elle conclu par des "Bordel", "Cul" et "Chier" de circonstance.

Je suis allé trop loin. Dans quel sens ? Je ne le saurais que trop tard.

Au moins nous nous serrons échangé un baisé.